pour des transfusions sûres

Les personnes ayant choisi ou non de recevoir une injection expérimentale contre le Covid-19 courent-elles un danger en cas de transfusion sanguine ?

QUI SOMMES-NOUS ?


Sang pour Sang, c’est un groupe de travail bénévole d’une douzaine de personnes, issues de différents milieux, dont le médical, le paramédical, l’administration ou encore la finance, dont certaines sont elles-mêmes donneuses ou receveuses de sang, et réunies par une inquiétude commune:

la crainte que les substances contenues dans les injections (ARNm) contre le Covid-19 puissent avoir des effets indésirables sur les personnes bénéficiant de transfusions de sang prélevé sur des personnes ayant reçu cette injection.

Créé fin octobre 2021, ce groupe de travail bénéficie en janvier 2022 de déjà plus de 900 membres suisses-romands sur leur groupe Telegram, partageant tous la même idée motrice:

le principe de précaution* doit être appliqué

 

Depuis fin décembre, notre groupe de travail élabore ses recherches de façon individuelle et se réunit 2 à 4x par mois pour faire avancer ce dossier vital.

 

*Principe de précaution: doit s’appliquer quand de sérieux indices scientifiques font craindre un risque important pour la santé, mais que les données sont insuffisantes pour prouver de manière définitive un lien de cause à effet. Le principe de précaution commande de prendre des mesures assez tôt pour éviter des atteintes graves, irréversibles, ou des atteintes dont les coûts de réparation seraient exorbitants.

CONSTATS


  • Les injections effectuées dans le cadre des “campagnes de vaccinations” contre le Covid-19 sont officiellement encore au stade d’étude clinique au printemps 2022, et n’ont pu être autorisées de façon précoce et à durée limitée qu’exceptionnellement et ce “en l’absence d’autre traitement réputé efficace” (par exemple en France) ou “de médicament de substitution autorisé” (en Suisse, art. 9a LPTh)
  • D’après certains chercheurs (https://howbadismybatch.com), et selon les firmes, les compositions ainsi que les dosages de substances actives varieraient selon les lots (même au sein d’une même marque), ce qui pourrait en partie expliquer le large éventail de gravité des effets indésirables de ces injections (allant de légers symptômes jusqu’au décès)
  • Des doutes peuvent subsister quant à la composition exacte de ces injections
  • Personne ne connaît encore les effets à long terme des substances injectées, et les effets indésirables à court et moyen termes sont susceptibles d’avoir été minimisés (voir ici l’analyse cumulative des rapports d’effets indésirables suite à la vaccination Pfizer)
  • En Suisse, il faut attendre seulement 48h pour pouvoir donner son sang après avoir reçu l’injection expérimentale contre le COVID-19
  • Ensuite, le sang prélevé n’est pas étiqueté “avec injection” ou “sans injection”, cela n’est pas demandé en amont du prélèvement
  • Paradoxalement une personne ayant contracté le Covid-19 doit attendre, selon les cantons, 14 voire 28 jours après l’infection pour pouvoir donner son sang (source: site des HUG, janvier 2022)
  • Des personnes ayant choisi de ne pas recevoir ces injections expérimentales pourraient donc potentiellement, en cas de transfusion, recevoir du sang contaminé par lesdites injections
  • On ignore également l’impact de ce sang “inoculé” sur d’autres personnes ayant également été injectées à ces produits, que ce soit d’une même firme, ou d’une firme différente…
  • Les personnes ne voulant ou ne pouvant pas recevoir ces injections ne sont donc pas les seules concernées par cette problématique !

Cette situation est éthiquement et médicalement inacceptable.

Elle doit être au plus vite rectifiée.

Nous exigeons la transparence et la traçabilité sur le statut vaccinal des donneurs, ce qui permettrait aux personnes transfusées d’exercer leur consentement libre et éclairé quant à une éventuelle transfusion de sang de personnes ayant reçu des injections expérimentales, et permettrait d’exclure la présence, dans le sang transfusé, de ces substances aux effets inconnus.

OBJECTIFS


  • Obliger à l’étiquetage et au traçage du sang prélevé sur des personnes ayant reçu l’injection (ARNm) contre le Covid-19
  • Obtenir que le receveur donne son consentement éclairé pour être transfusé de sang de personnes ayant reçu une ou plusieurs injections contre le Covid-19 : toute personne bénéficiaire de transfusion devrait être informée par les services hospitaliers de la composition et des effets secondaires potentiels en lien avec les injections expérimentales (par exemple à ARNm) qui pourraient se trouver dans le sang reçu
  • Exiger un suivi de cohorte national de toutes les personnes ayant reçu un produit sanguin (“transfusion”) en Suisse depuis le début des injections (ARNm) contre le Covid-19 (afin d’étudier dans quelle mesure ils développent ou non des atteintes a posteriori)
  • Étudier et promouvoir des alternatives transfusionnelles 100% sûres (“sang synthétique”, autotransfusions, protocoles utilisés auprès de certaines communautés, plasmas marins, sérums physiologiques originels, …)
  • Alerter la population; interpeller et responsabiliser les comités d’éthique, les centres de transfusion, la Croix-Rouge, Swissmedic, et toute autre structure concernée, en collaboration avec les organisations amies de Suisse romande
  • Garantir et organiser une filière de sang exempt de ces substances aux effets inconnus
  • Créer des supports tels que des fiches didactiques et prodiguer des conseils
  • Prévenir les conséquences potentiellement néfastes voire désastreuses sur la santé des personnes
  • Soutenir de possibles actions juridiques à venir
  • Effectuer une recherche et un rappel historique sur les scandales transfusionnels et contaminations par le sang ayant déjà eu lieu par le passé